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23/06/2010

soutien financier

BEI

 

La Banque Européenne d'Investissements a réaffirmé son soutien financier à l'Afrique de l'Est à qui elle a déjà consenti 890 millions d'euros de prêts à taux bonifiés.

Les priorités sont l'énergie, les transports et les PME.

 

14:18 Publié dans économie | Lien permanent | Commentaires (3)

Commentaires

eh ! pardi !

on construira beaucoup d'hôtel touristique !

Mais entre temps aura -t-on le temps de les finir ?

*Fratrasies

Je me suis levée hier matin,
Plus matin que d’habitude,
J’ai pris ma charrue sur mon dos
Et mes chevaux sur mon épaule.

J’ai pris ma charrue sur mon dos
Et mes chevaux sur mon épaule.
Je me suis en allée labourer
Où il n’y avait pas de terre.

Je me suis en allée labourer
Où il n’y avait pas de terre.
Sur mon chemin, j’ai rencontré
Un groseillier rempli d’escargots

Sur mon chemin, j’ai rencontré
Un groseillier rempli d’escargots
Je suis montée, je suis grimpée dessus
Je me suis piquée à l’oreille.


Je suis montée, je suis grimpée dessus
Je me suis piquée à l’oreille.
Au travers de la plante de mon pied
On voyait toute ma cervelle.


Au travers de la plante de mon pied
On voyait toute ma cervelle.
Je suis rentrée à la maison
J’ai trouvé des nouvelles.

Je suis rentrée à la maison
J’ai trouvé des nouvelles
Les grenouilles étaient
Dans le coin de notre feu
Qui chantaient la grand’messe.

Les grenouilles étaient
Dans le coin de notre feu
Qui chantient la grand’messe
Et puis, les limaçons cornus
Qui allaient à l’offrande.

Et puis, les limaçons cornus
Qui allaient à l’offrande.
Puis les mouches sur la palissade
Qui se tordaient de rire

Puis les mouches sur la palissade
Qui se tordaient de rire
Et puis, les rats dans notre maie
Qui allaient pétrir le pain.

Et puis, les rats dans notre *maie
Qui allaient pétrir le pain.
Le chat, sur le cul de notre four
Qui attendait la flamiche


Le chat, sur le cul de notre four
Qui attendait la flamiche
Il n’a pas eu la patience d’attendre
Il a bien mangé
Sans qu’elle soit cuite.


Il n’a pas eu la patience d’attendre
Il a bien mangé
Sans qu’elle soit cuite.
Il s’est sauvé dans notre jardin
Tout en cirant « Hip, ah ! Hip-Hip !


Il s’est sauvé dans notre jardin
Tout en cirant « Hip, ah ! Hip-Hip !
Hip, ah ! Hip ! , à moi voisin
Je me suis brûlé les lèvres

Hip, ah ! Hip ! , à moi voisin
Je me suis brûlé les lèvres
S’il y a un soupçon de vérité
Je veux bien qu’on me fasse mourir !

S’il y a un soupçon de vérité
Je veux bien qu’on me fasse mourir !


Marie-Lise Ehret
18 juin 2010


*Fratrasies = rengaines ou fadaises
*maie = huche
*flamiche= petite mèche

Écrit par : Marie-Lise EHRET | 23/06/2010

Allons, faites vos jeux,



Allons, faites vos jeux,
Mesdames et Messieurs,
A tous les coups l’on gagne,
Au pays de cocagne !

Connaissez-vous sur terre,
Paroles plus magiques ?
Portes sur le mystère,
Du monde statistique…

Lorsque les dés s’envolent,
Quand la carte s’abat,
L’espoir prend son envol,
Comme un fou le cœur bat.

Ecoutes petite comme ton s’abat
A leur réformisme de vie

Écrit par : marie-Lise Ehret | 01/07/2010

L’orage,

Elle court, vole, saute là,
Parmi les ronces les potentilles
Son petit corps menu frétille,
La bise siffle et lui murmure
Qu’il est temps de quitter son pré d’azur,
Mais, elle rie aux éclats !

Elle exhale, ici étalée,
L’effluve soufrée qui monte de la terre.
Des nuées noires courent dans le ciel,
Vite, le tonnerre mugit à ses oreilles
Mais cette petite est téméraire.
Dis, pourquoi t’es fâché ?

Elle palpe et goûte, là,
Cette ondée qui sur ses joues ruisselle.
Dans ses yeux d’onyx la joie étincelle,
Son minois rosi de plaisir s’éclaire,
Sa toison, au vent mêlée, reflète l’éclair.
Elle scrute l’éclat, reste là.

Et un, et deux, et trois.
Son doigt pointé sur la voûte peinte,
Compte les lueurs de cette aquarelle
Suppute, pour l’atteindre, fait les pointes,
Tout à coup vacilla, les jambes trop frêles.
Et vlan ! Patatra !

Vas vite ! Écoute !
Les cloches te somment de rentrer.
Prend son élan est tout essoufflée,
Mais avant ses pieds joints sautillent
Dans cette fabuleuse flaque d’eau.
Oh ! Que c’est rigolo !

Le chaton mouillé rentra,
Soudain une grosse voix gronde,
C’est là, une tornade qui s’annonce.
Elle baisse la tête en guise de dépit,
Hausse les épaules, se dit tant pis.
Moi, j’aime bien ça !

C’était un jour de fête
Pour cette enfant là
Elle avait l’âme d’un poète
En ce temps là


14 – déb. Déc. 2003


préservez bien ces enfants là
la planche à billet ne tourne pas
D'où vient tout cet argent là
attention au donné rendu

Écrit par : marie-Lise Ehret | 01/07/2010

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