efficace ?

Swaziland

 

Ce pays, où la prévalence du Sida est de 25% de la population, a lancé une grande campagne de circoncision gratuite auprès des hommes de 15 à 40 ans.

 

 

violences

Côte d'ivoire

 

Violences meurtrières : un rapport d'Amnesty International renvoie les deux camps dos à dos.

Mardi,  des membres des "Forces de défense et de sécurité", fidèles à Gbagbo,  sont tombés dans une embuscade tendue par un groupe armé qui se surnomme "le commando invisible".

Les combats ont eu lieu à l'arme lourde, notamment des tirs de mortiers et de roquettes.

Il y aurait plus d'une dizaine de morts.

Au moins six personnes auraient été tuées lundi,  à l'occasion de manifestations organisées par le président élu Alassane Ouattara.

 

Amnesty International dénonce les violations des droits de l'Homme dans les deux camps :

- exécutions extrajudiciaires, usage excessif de la force et viols dans le camp Gbagbo ;

- violences, viols et détentions arbitraires, avant même l'élection présidentielle dans les zones contrôlées par Ouattara.

A l'ouest, l'impasse politique exacerbe les tensions ethniques : meurtres et destructions d'habitations ont entraîné la fuite de 70 000 personnes.

 

 

 

crimes contre l'humanité par le viol

RDC

 

La justice militaire a prononcé des condamnations exemplaires à l'encontre de neuf militaires pour "crimes contre l'humanité par le viol".

Les plus gradés sont les plus sanctionnés : 20 ans pour les officiers, dont le lieutenant-colonel qui commandait l'opération, dans le Sud-Kivu,  15 ans pour les caporaux et 10 ans pour les soldats du rang.

Une soixantaine de femmes auraient été victimes de leurs violences.

 

comme au Sud-Soudan

Sénégal

 

Le gouvernement sénégalais rejette fermement, en la traitant de "moment d'égarement", la demande, adressée à l'Union africaine, par le "Mouvement des forces démocratiques de Casamance",  d'organiser un référendum d'autodétermination en Casamance, "comme au Sud-Soudan".

 

opposant en prison

Rwanda

 

L'opposant Bernard Ntaganda, arrêté après avoir annoncé sa candidature à l'élection présidentielle, vient d'être condamné à quatre ans de prison ferme pour "atteinte à la sureté de l'Etat, appel à la division ethnique et organisation d'une manifestation non autorisée."

Amnesty International dénonce "la tendance croissante à condamner les individus pour atteinte à la sécurité nationale parce qu'ils ont critiqué le gouvernement".

Deux journalistes ont été condamnés pour avoir publié des articles critiques envers le pouvoir".